L'oppression et la violence infligées au monde par les communistes darwinistes

L'anarchie et la terreur sont deux outils indispensables du marxisme et du communisme. La tendance du marxisme pour le terrorisme et la violence s'est révélée pour la première fois dans l'expérience de la Commune de Paris (1870), à l’époque où Marx était encore en vie. Puis, à l’époque de Lénine, qui mit réellement la théorie de Marx en pratique, le terrorisme devint indispensable à l'idéologie communiste. Les communistes firent couler le sang de millions de gens aux quatre coins du monde et les firent souffrir et vivre dans la crainte et la violence en établissant des organisations terroristes. Comme nous le verrons dans les pages suivantes, tout le monde se souvient de l'oppression que ces leaders communistes ont exercée et tous les meurtres qu'ils ont commis. Néanmoins, il existe toujours quelques personnes qui couvrent leurs murs des portraits de ces assassins impitoyables et sanguinaires et qui les considèrent toujours comme leurs guides.

Bien que certains communistes nient que la violence et le terrorisme soient des pratiques communistes et qu'ils légitiment ces actes par des justifications d’applications individuelles et rares, il existe une vérité indéniable: les fondateurs du communisme défendirent personnellement la violence et le terrorisme et les considérèrent comme étant des éléments essentiels de leur idéologie. Le professeur de science politique américain Samuel François commenta à ce sujet:
Marx et Engels ont toujours spécifié que la révolution devait être violente et que les révolutionnaires devaient user de la violence contre les hommes au pouvoir. Dans quelques cas, ils ont même exprimé leur soutien aux actes terroristes.100
Karl Marx dit un jour que "l'insurrection était autant un art que la guerre" et prit les paroles suivantes de Danton, l’un des principaux partisans de la révolution française de 1789, et en forma un principe: "De l'audace, de l'audace, et encore de l'audace."101 Il existe des discours clairs de Lénine quant à la nécessité d'avoir systématiquement recours au terrorisme. Voici quelques parties d’entre eux:
En réalité, l'Etat n'est rien d'autre qu'un instrument d’oppression d'une classe par une autre. La dictature est quant à elle une autorité basée sur la force et qui n’est pas limitée par un cadre de lois... La dictature révolutionnaire du prolétariat devait être cette autorité accaparée et entretenue grâce à l'usage de la violence du prolétariat contre la bourgeoisie; soit cette autorité qui n’est limitée par aucune loi.102
Nous ne sommes pas du tout opposés à l’assassinat politique… Seuls des actes terroristes individuels non isolés du mouvement global ont de la valeur.103
Pour prendre le pouvoir, les ouvriers détenant une conscience de classe doivent obtenir la majorité de leur côté. Tant que la violence n'est pas utilisée contre les dirigeants, il n'existe aucune alternative pour accaparer le pouvoir.104
Durant une réunion de la classe ouvrière, Lénine donna un discours terrifiant sur la nécessité du terrorisme:
Si les masses ne se révoltent pas spontanément, cela ne mènera à rien… Car tant que nous ne réussissons pas à traiter les spéculateurs de la façon qu'ils méritent - soit avec une balle dans la tête - nous n'arriverons à nulle part.105
Trotski, l’un des leaders les plus importants de la révolution d'octobre en Russie, rajouta ceci, confirmant les mots de Lénine:
Mais la révolution demande à la classe révolutionnaire qu'elle parvienne à ses fins à l’aide de toutes les méthodes disponibles et si nécessaire, par une révolte armée; si requis, par le terrorisme.106
Trotski alla même plus loin dans un autre discours:
Notre seul choix est maintenant la guerre civile. La guerre civile est la lutte pour le pain… Vive la guerre civile!107
Les principes des théoriciens communistes tels que Lénine et Trotski furent mis en pratique lors de la révolution bolchevique en Russie. Pendant la période révolutionnaire, en automne 1917, de nombreux massacres et pillages d’une violence incroyable eurent lieu. Ceux qui étaient contre la révolution ou soupçonnés de l'être furent rassemblés sans raison, arrêtés et tués: leurs maisons furent pillées et détruites. Le terrorisme, qui commença donc avec Lénine et Trotski, continua et empira sous Staline.
Harrison E. Salisbury du New York Times décrivit les camps de prison du système soviétique comme:
… un continent entier de terreur… Comparés avec ceux qui exécutèrent des centaines de milliers de personnes et provoquèrent la mort de millions d’autres en Union Soviétique, l’époque des Tsars nous semblent presque bénie… Nous restons perplexes devant la pensée d'un mal systématisé, routinier, pendant lequel trois ou quatre ou plus de millions d'hommes et de femmes furent condamnés chaque année au travail forcé et à l'exil éternel. Tout ceci se passa d’une façon si fortuite que les prisonniers n'étaient souvent même pas prévenus de leurs sentences... 108
Des peuples non-russes et tout particulièrement les Turcs de Crimée, les Turcs d’Asie Centrale et les Kazakhs, subirent le terrorisme du système soviétique. Des cours juridiques spéciales, nommées troiki, furent établies pour nettoyer la société russe des Kazakhs. En octobre 1920, ces troiki seuls avaient condamné à mort plus de 6.000 personnes. Ces ordres furent immédiatement conduits. Les familles et parfois même les voisins de ceux qui s'opposaient au régime et qui ne pouvaient être appréhendés furent systématiquement pris comme otages et envoyés dans des camps de concentration. Martin Latsis, chef d'un de ces camps en Ukraine, admit dans un de ses rapports que ceux-ci étaient des camps de la mort:
Réunis dans un camp près de Maïkop, des otages, des femmes, des enfants et des vieillards survivent dans les conditions les plus épouvantables dont le froid et la boue d'octobre… Ils tombent comme des mouches. Les femmes font tout pour échapper à la mort. Les soldats qui gardent le camp en profitent et les traitent comme des prostituées.109
Sous l'influence de Darwin, les révolutionnaires communistes tuèrent des gens d'une façon affolante. Les documents de l'époque révélèrent que leur but unique était l'extermination totale. Leur maxime aurait bien pu être: plus de personnes tuées, plus de succès! Le fait qu'ils projetèrent d'anéantir toute personne soupçonneuse fit partie intégrale de l’une de leurs décisions:
Le Pyatigorsk Cheka (Comité extraordinaire pour la guerre contre la contre-révolution) décida d'exécuter 300 personnes par jour. Ils divisèrent alors la ville en différents quartiers, prirent un quota de gens dans chacun des quartiers et ordonnèrent au Parti de rédiger les listes d'exécution… A Kislovodsk, en l'absence d'une meilleure idée, il fut décidé de tuer les gens qui étaient à l'hôpital.110
Le journal Krasnyi Mech (L'épée rouge), qui soutenait les communistes, déclara que ces derniers se permirent tout et crurent que le sang devait couler pour que la couleur du drapeau rouge puisse se former.
A nous, tout est permis, car nous sommes les premiers à lever l'épée non pas pour opprimer les races et les réduire à l'esclavage, mais pour libérer l'humanité de ses chaînes… Sang? Laissez le sang couler comme de l'eau! Laissez le sang colorer pour toujours le drapeau de pirate noir volé par la bourgeoisie et laissez notre drapeau être rouge comme du sang pour toujours! Car c'est seulement par la mort du vieux monde que nous pourrons nous libérer pour toujours du retour de ces chacals!111
En plus de toute cette torture, Staline fonda "des détachements de réquisition" pour emporter les produits des paysans par force. Ces unités étaient responsables de toutes sortes d'oppression. Un inspecteur écrivit le 14 février 1922:
Les abus de position commis par les détachements de réquisition ont à vrai dire maintenant atteint des niveaux incroyables. Systématiquement, les paysans arrêtés sont enfermés dans de grandes granges non chauffées; ils sont ensuite fouettés et menacés de l'exécution. Ceux qui n'ont pas rempli tout leur quota seront attachés et forcés à courir nus tout le long de la rue principale du village; ils seront ensuite enfermés dans un autre hangar non chauffé. Un grand nombre de femmes ont été battues jusqu'à ce qu'elles perdent connaissance, puis jetées nues dans des trous creusés dans de la neige…112
Staline était convaincu que l'Espagne représentait une belle occasion pour l'URSS et que l'intervention dans ce pays porterait ses fruits. C'est pourquoi il prit position et soutint les communistes durant la guerre civile espagnole. Mais à cause de cela, le terrorisme s’est propagé en Espagne.
Un autre exemple d'oppression et de torture fut un camp de concentration où 200 antistaliniens furent détenus au début de 1938. Lisons le commentaire d’une victime du moment où "les staliniens décidaient d'ouvrir une Tcheka";
Un petit cimetière était vidé tout près. Les tchékistes avait une idée diabolique: ils laisseraient les tombes du cimetière ouvertes, avec les squelettes et les corps se décomposant en pleine vue. C'est là qu'ils enfermèrent les prisonniers les plus résistants. Ils avaient quelques méthodes de torture notamment très brutales. Beaucoup de prisonniers furent accrochés par leurs pieds, à l'envers, pendant des jours entiers. Ils en enfermèrent d'autres dans des armoires minuscules comportant un seul petit trou d'air près du visage pour respirer… L'une des pires méthodes était connue sous le nom de "tiroir"; les prisonniers étaient forcés de s'accroupir dans des boîtes carrées minuscules pendant plusieurs jours. Certains furent tenus là, incapables de se mouvoir, pendant huit à dix jours.113
En 1931, le Pape Pie XI nous révéla dans l'encyclique Quadragesimo Anno la quantité de douleur infligée par le communisme:
Le communisme enseigne et cherche deux objectifs: une lutte des classes inexorable et l'extinction complète de la propriété privée. Il ne le fait pas secrètement ou par des méthodes cachées, mais publiquement, ouvertement et en employant tous les moyens possibles, même les plus violents. Pour atteindre ces objectifs, rien ne lui fait peur, il n’existe rien pour lequel il éprouve du respect ou de la révérence. Quand il monte au pouvoir, il est féroce dans sa cruauté et inhumain. Les vastes régions dévastées et détruites dans toute l’Europe de l'Est et en Asie en sont témoins.114
Comme nous venons de le dire, le communisme visait à une lutte des classes impitoyable et à la complète élimination de la propriété privée. Autrement dit, son objectif était l'application de la théorie de l'évolution, que Darwin avait testée dans le domaine biologique, aux sociétés humaines, et de garder les gens à l’état animal sauvage naturel, soit en conflit et en guerre constants.
Les désastres provoqués par le communisme ne se sont pas limités à la Russie. Un des pays qui fut horriblement affecté fut la Chine.

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