LES DESASTRES CAUSES A L'HUMANITE PAR LE DARWINISME

Pendant toute l'histoire, il y eut guerres, meurtres, oppression et conflits. Mais la raison pour laquelle le nombre et l'étendue de ces désastres augmentèrent autant lors du siècle dernier n’est rien d’autre que le voile trompeur de justification scientifique que le darwinisme a prêté à ces meurtres, oppressions et conflits. Dû au fait que les prétentions erronées du darwinisme sur la nature humaine furent parallèles à l’épanouissement de ces idéologies, des assassins, dictateurs et idéologues sadiques tentèrent de justifier leur politique en affirmant que "la loi de la nature pouvait également s'appliquer à la société".

L’impitoyable et pessimiste modèle proposé à l'humanité par le darwinisme

Selon les darwinistes et les matérialistes, l'univers tout entier, êtres humains inclus, est l'œuvre du chaos et de coïncidences. L’influence grandissante de cette croyance au sein de nos sociétés a pour conséquence l’apparition de personnes complètement irresponsables qui ne connaissent aucune limite.
Une personne n’ayant aucun idéal ne réfléchit pas, ne cherche pas à se développer, est impertinente, railleuse, insensible, n'est affectée par rien, ne peut pas employer sa conscience et ne connaît aucune règle ni limite. Elle ne peut ni devenir vertueuse ni posséder de qualité noble. Vu son état d’esprit faussé, soit qu’elle se considère comme étant un animal développé, ses deux occupations de base sont se nourrir et se reproduire; puis, de la même manière que font certaines autres créatures après avoir satisfait ses besoins, elle cherche à assouvir le plus possible ses désirs par le divertissement et le plaisir, et ceci jusqu’à sa mort. Il est du reste facilement observable que bien que peu de personnes soient familières avec la doctrine darwiniste en tant que telle, elles s’adonnent à la vie prescrite par cette dernière.

le communisme est une terreur causée par une absence de religion

Quiconque veut bien considérer les massacres, les meurtres et la souffrance délibérément infligés sur des personnes par les communistes, les nazis ou les colonialistes, se demandera comment les partisans de ces idées ont réussi à se distancer autant des principes partagés par l'humanité. L'unique raison de la sauvagerie et de l’oppression commises par ces leaders réside dans le fait que ceux-ci avaient rejeté la religion et donc la crainte de Dieu. Un être humain qui craint Dieu et qui détient une foi ferme en l'au-delà sera certainement incapable de commettre les actes oppressifs injustes et mortels que nous venons de décrire. En outre, même si l’on sème le doute au sein d’une personne croyante, celle-ci ne se laissera jamais emporter par une idéologie aussi déviante.

Le nombre amer de victimes de la sauvagerie communiste

De semblables exemples de sauvagerie se passèrent dans chaque pays où le communisme prit les commandes: au Cambodge, en Corée du Nord, au Laos, au Viêt-Nam et dans d’autres pays de l'Europe de l'Est ou d’Afrique. Le coût en sang de ces atrocités fut d’ailleurs exposé dans Le Livre Noir du Communisme:

Le darwiniste Mao Tsé Toung et ses massacres

Mao Tsé Toung, le leader communiste de la Chine, a eu deux guides ou mentors importants: l'un d’entre eux fut Darwin, comme nous venons de le mentionner, et l'autre Staline. Ces deux personnages synonymes de tragédies et de souffrance, dont les traits sont facilement identifiables dans la personnalité de Mao, ont causé de grandes tragédies et ont laissé leur empreinte sur une période longue et sombre de l'histoire de la Chine. Six à dix millions de personnes succombèrent aux directives de Mao Tsé Toung, plusieurs dizaines de millions de contre-révolutionnaires ont passé une grande partie de leurs vies en prison, où 20 millions d'entre eux sont morts. De plus, vingt à quarante millions de personnes sont morts de famine entre les années 1959-1961, suite à la politique du "grand bond en avant", témoignant ainsi des terribles conséquences de la politique extrémiste de Mao. Le massacre de la place Tienanmen de juin 1989 (environ 1.000 morts) est un autre exemple de ce que la Chine a subi durant son histoire récente. Finalement, ajoutons que les assassinats et le génocide perpétrés à l’égard de la population musulmane turque du Turkestan Oriental continuent toujours.

L'oppression et la violence infligées au monde par les communistes darwinistes

L'anarchie et la terreur sont deux outils indispensables du marxisme et du communisme. La tendance du marxisme pour le terrorisme et la violence s'est révélée pour la première fois dans l'expérience de la Commune de Paris (1870), à l’époque où Marx était encore en vie. Puis, à l’époque de Lénine, qui mit réellement la théorie de Marx en pratique, le terrorisme devint indispensable à l'idéologie communiste. Les communistes firent couler le sang de millions de gens aux quatre coins du monde et les firent souffrir et vivre dans la crainte et la violence en établissant des organisations terroristes. Comme nous le verrons dans les pages suivantes, tout le monde se souvient de l'oppression que ces leaders communistes ont exercée et tous les meurtres qu'ils ont commis. Néanmoins, il existe toujours quelques personnes qui couvrent leurs murs des portraits de ces assassins impitoyables et sanguinaires et qui les considèrent toujours comme leurs guides.

La base de l'alliance entre le darwinisme et le communisme: la haine contre la religion

Comme nous l'avons expliqué auparavant, la raison la plus importante de la fidélité qui existe entre matérialistes et communistes et le darwinisme est cet appui apparent que le darwinisme donne à l'athéisme. La philosophie matérialiste exista toujours dans l'histoire, mais jusqu'au 19ème siècle, la plupart des philosophes s’étaient limités à la théorie. La meilleure explication réside dans le fait que la plupart des hommes de science de l’époque croyaient en Dieu et en la réalité de la création. Mais au 19ème siècle, la philosophie matérialiste et la théorie de Darwin commencèrent à être appliquées aux sciences naturelles. Le darwinisme était la base la plus importante soutenant la culture matérialiste irréligieuse qui marqua le 19ème siècle et révéla ses effets pendant le 20ème siècle.

Mao Tsé Toung: l'ambassadeur de Darwin et de Marx en Chine

Alors que Staline dirigeait son régime totalitaire, un autre régime communiste basé sur le darwinisme apparut en Chine. Les communistes, menés par Mao Tsé Toung, sont montés au pouvoir en 1949 suite à une longue guerre civile. Mao établit un régime oppressif et sanglant, tout comme son allié Staline, qui le soutint d'ailleurs fortement. La Chine est devenue la scène d'innombrables exécutions politiques. Dans les années qui suivirent, les jeunes miliciens de Mao, connus sous le nom de "gardes rouges", entraînèrent le pays dans une atmosphère de terreur totale.

L'admiration des disciples de Marx et d'Engels pour Darwin L'admiration des disciples de Marx et d'Engels pour Darwin

Les disciples de Marx et d'Engels, qui sont responsables de la mort de millions de personnes ainsi que de la détresse et douleur de bien d’autres encore, ont embrassé la théorie de l'évolution avec grands joie et intérêt.
Citons John N. Moore, qui discute de la relation entre la théorie de l'évolution et les leaders soviétiques qui appliquèrent les idées de Marx et d’Engels en Russie:
La pensée des leaders de l'URSS est profondément enracinée dans une perspective évolutionniste.88
Ce fut Lénine qui mena à terme la révolution communiste de Marx. Lénine, le leader du mouvement bolchevique communiste russe, réussit à déstabiliser le régime tsariste en Russie par la force des armes. La situation chaotique de l’après première guerre mondiale offrit aux bolcheviques l'occasion unique qu'ils cherchaient. Avec Lénine à la tête du mouvement, les communistes se sont finalement emparés du pouvoir par voie d’armes en octobre 1917. Après la révolution, la Russie fut la scène d'une guerre civile sanglante qui, durant trois ans, confronta les communistes et les partisans du tsar.

L'admiration que Engels et Marx avaient pour Darwin

Le darwinisme est donc d’une grande importance pour le communisme; seulement quelques mois après la publication du livre de Darwin, Engels écrivit à Marx: "Darwin, ce que je suis en train de lire en ce moment, est splendide."78
Marx répondit à Engels le 19 décembre 1860: "Ce livre contient la base de l'histoire naturelle soutenant notre point de vue."79
Dans une lettre écrite le 16 janvier 1861 par Marx à Lassalle, un autre de ses amis socialistes, il écrivit: "Le livre de Darwin est très important et me sert de base dans le domaine des sciences naturelles pour comprendre la lutte des classes dans l'histoire."80 ll révèle ainsi l'importance de la théorie de l'évolution pour le communisme. Marx justifia la sympathie qu’il avait pour Darwin en lui dédiant une copie de son travail le plus important, Das Kapital (Le capital). Il se définit comme étant "un admirateur sincère" du naturaliste anglais.81
Engels admet également son admiration pour Darwin:

Les néonazis

Bien que les dirigeants fascistes comme Hitler et Mussolini, les organisations nazies (SA, SS, Gestapo) et les "Chemises Noires" de Mussolini ne semblent aujourd'hui plus qu’être un mauvais souvenir du passé, des organisations néonazies arborant leurs idées sont toujours actives. Durant ces dernières années en particulier, des mouvements racistes et fascistes se sont éveillés dans plusieurs pays européens. Le néonazisme allemand vient en tête de ces mouvements.

Le rôle préparatoire du darwinisme pour la première et la deuxième guerres mondiales

Dans son livre, Europe Since 1870 (L'Europe depuis 1870), le célèbre professeur d’histoire britannique James Joll considère l’adhérence des chefs d’état européens au darwinisme comme étant l’un des facteurs menant à l'éruption de la première guerre mondiale:
Jusqu’ici, nous avons vu la façon dont les idées de Darwin ont influencé l'impérialisme de la fin du dix-neuvième siècle. Pourtant, il est important de comprendre combien la doctrine de la lutte pour l'existence et de la survie du mieux adapté fut littéralement embrassée par la majorité des chefs d’état européens dans les années précédant la première guerre mondiale. Le chef d'état-major austro-hongrois, le Baron Franz Conrad von Hoetzendorff, par exemple, écrivit dans ses mémoires d’après guerre:

Le fasciste Franco et l'oppression qu’il a exercée en Espagne

Franco fut lui aussi un des oppresseurs fascistes qui transforma le 20ème siècle en un lac de sang. Il organisa le mouvement phalangiste en Espagne avec le soutien des fascistes darwinistes Hitler et Mussolini. Les phalangistes ont causé de grandes souffrances et ont opprimé de nombreux Espagnols. Franco a entraîné son peuple dans la guerre civile, tournant frère contre frère et père contre fils.
Pendant la guerre civile espagnole, une moyenne de 250 personnes étaient tuées chaque jour à Madrid, 150 à Barcelone et 80 à Séville. Certaines exécutions se faisaient en enfonçant des clous dans la tête des gens. Des massacres impitoyables ont pris place partout dans le

Les catastrophes causées par le fasciste darwiniste Mussolini Les catastrophes causées par le fasciste darwiniste Mussolini

Le contemporain et allié d’Hitler, Mussolini, s’est aussi servi des assertions et des concepts darwinistes pour établir un système impérialiste et fasciste en Italie.
Mussolini était un darwiniste de souche, il pensait que la violence était une force propulsive dans l'histoire et que la guerre menait à la révolution. Pour lui, "la réticence de l'Angleterre à s'engager dans la guerre prouvait seulement la décadence évolutionniste de l'empire britannique".61

La haine d'Hitler contre la religion

Une raison supplémentaire pour qu’Hitler ait adopté la théorie de l'évolution est qu’il voyait la théorie comme une arme contre la religion. Hitler détestait les religions divines. Les vertus morales de la compassion, de la pitié et de l'humilité ordonnées par les religions divines, représentaient un grand obstacle pour le genre de guerrier aryen impitoyable que les nazis voulaient créer. C’est pour cette raison qu’une fois que les nazis ont été au pouvoir, soit en 1933, ils essayèrent de diriger la société allemande vers ses anciennes croyances païennes. Le svastika, symbole païen, illustra ce retour. Les cérémonies nazies organisées dans les quatre coins de l'Allemagne étaient un retour aux rites païens antiques. Ainsi, l'idée de l'évolution, héritage de cultures païennes, s’est extrêmement bien adaptée à l'idéologie nazie. Hitler nous dévoila son attitude envers le Christianisme lorsqu’il déclara franchement que:

L'aberration du concept nazi de la race aryenne

Les nazis ont à nouveau utilisé des concepts darwinistes pour prouver la prétendue supériorité de la race aryenne. Darwin avait défendu l’idée que la taille des crânes des hommes grandissait plus ils se développaient. Les nazis ont embrassé cette idée avec acharnement et se sont mis à prendre des mesures de crâne pour prouver que la race allemande était supérieure. Des comparaisons montrant que les crânes allemands étaient plus grands que ceux des autres races se firent dans les quatre coins de l’Allemagne nazie. Les dents, les yeux, les cheveux et d'autres variables furent évalués avec l’aide de méthodes de mesures évolutionnistes. Les individus qui ne se conformaient pas aux mesures de la race allemande seraient exterminés au nom du principe eugénique.

La théorie de l’eugénisme est basée sur les idées de Darwin

La théorie de l’eugénisme, apparue dans la première moitié du 20ème siècle, prônait l’amélioration de la race humaine par l'élimination des malades et des handicapés, soit en augmentant le nombre d'individus sains. Selon la théorie de l’eugénisme, la race humaine pourrait être améliorée de la même manière que la race animale, soit par l'accouplement d’animaux les plus sains et les plus forts.
Comme on pouvait s'y attendre, ceux qui avançaient le programme de l’eugénisme étaient tous darwinistes. A cette époque, deux des dirigeants anglais étaient François Galton, le cousin de Charles Darwin, et Léonard Darwin, son fils.

L'alliance sanglante entre Darwin et Hitler L'alliance sanglante entre Darwin et Hitler

Le nazisme est né suite au chaos dans lequel se trouvait l'Allemagne après la défaite de la première guerre mondiale. Le chef du parti nazi fut le revanchard et agressif Adolf Hitler. La vision du monde d’Hitler reposait sur le racisme. Il croyait que la race aryenne, la race pure de la nation allemande, était supérieure aux autres races et devait donc régner sur elles. Il rêvait d'un empire universel peuplé par des individus de race aryenne qui règnerait sur une période de 1.000 ans.

La supériorité dépend du caractère plutôt que du sang

Darwin a représenté les hommes comme étant une espèce d’animal développée, dont certaines races n’ont pas encore achevé un développement suffisant et sont donc encore très proches des animaux. Cela fut très dangereux et destructif pour l'histoire humaine. Ceux qui se sont laissés guider par les idées de Darwin ont impitoyablement opprimé des personnes de races différentes de la leur, en les forçant à vivre dans des conditions invivables, voire en les exterminant.
Bryan Appleyard, auteur du livre A Brave New World (Un nouveau monde plein de progrès), expliqua la mentalité tyrannique de base du racisme et les conséquences qu’elle engendra:

Ota Benga

Suivant la prétention de Darwin que les hommes et les singes descendraient d'un ancêtre commun, des recherches de fossiles furent entreprises pour soutenir ce scénario. Certains évolutionnistes pensaient trouver des créatures "mi-homme/mi-singe" dans les fossiles répertoriés, aussi bien que dans le monde vivant dans diverses parties du monde. Au début du 20ème siècle, les recherches du "maillon manquant" causèrent plusieurs actes de sauvagerie. L’un de ces actes peut être illustré par l'histoire du pygmée nommé Ota Benga.
Ota Benga fut capturé en

La politique inhumaine des racistes darwinistes L'extermination des aborigènes

Les indigènes d'Australie sont connus sous le nom d’aborigènes. Ces gens, qui avaient vécu sur le continent pendant des milliers d'années, ont subi l'une des plus grandes exterminations de l'histoire suite à l’arrivée des colons européens. La base idéologique et scientifique de cette extermination fut le darwinisme. Les vues des idéologues darwinistes au sujet des aborigènes permirent la sauvagerie dont ces gens ont souffert.
En 1870, Max Muller, un anthropologue évolutionniste de la London Anthropological Review, divisa les races humaines en sept catégories. Les aborigènes se trouvaient dans la plus basse des catégories alors que la race aryenne, celle des européens blancs, se trouvait dans la plus haute. H. K. Rusden, un célèbre darwiniste social, prononça les mots suivants à propos des aborigènes en 1876:

Le racisme et le darwinisme social en Amérique

Le darwinisme social a aussi servi de soutien aux racistes et aux impérialistes dans d'autres pays que la Grande-Bretagne. Il s'est ainsi propagé rapidement dans le monde entier. A la tête de ceux qui ont soutenu la théorie de Darwin se trouvait le président américain Théodore Roosevelt. Roosevelt était le principal partisan et exécuteur du programme de purification ethnique appelé "relocalisation obligatoire" appliqué aux indiens d'Amérique. Dans son livre The Winning of the West (La victoire de l'Ouest), Roosevelt décrivit une idéologie poussant au massacre. Il y soutint qu'une guerre raciale pour exterminer les indiens était inévitable.25 Sa plus grande force fut d’utiliser le darwinisme car cela lui a donné la chance de définir les indigènes comme appartenant à une espèce arriérée.

L’hostilité de Darwin envers les Turcs

La cible la plus importante fixée par la Grande-Bretagne vers la fin du 19ème siècle était de déstabiliser l'empire ottoman. 
A cette époque, l'état ottoman gouvernait une énorme région s’étendant du Yémen à la Bosnie-Herzégovine. Cependant, les Ottomans avaient de plus en plus de difficultés à gérer ce territoire qu'ils avaient jusqu’alors dirigé dans la paix, la stabilité et le calme. Des minorités chrétiennes commençaient à se révolter au nom de l’indépendance alors que de grandes puissances militaires comme la Russie les menaçaient de l’extérieur. 

Le colonialisme britannique et le darwinisme

Le pays qui a le plus profité des vues racistes de Darwin est la propre terre de Darwin, la Grande-Bretagne. Dans les années où Darwin a avancé sa théorie, la Grande-Bretagne avait fondé le plus grand empire colonial du monde. Toutes les ressources naturelles de l'Inde à l'Amérique Latine furent exploitées par l'empire britannique. "L’homme blanc" pillait le monde pour son propre intérêt. 
Néanmoins, en commençant par Grande-Bretagne, aucun empire colonial ne voulait être considéré comme "pilleur". C’est pour cette raison qu’ils cherchaient une justification à leurs actes. Une telle justification leur servirait à présenter les peuples colonisés comme étant "des gens primitifs" ou "des êtres vivants similaires aux animaux". De cette façon, ceux qui étaient massacrés et soumis à des traitements inhumains n’étaient pas considérés comme des hommes, mais comme des créatures mi-animales/mi-humaines; la violence contre un individu colonisé n’était dès lors plus considérée comme un crime. 

"La conservation des races favorisées"

La plupart des darwinistes prétendent aujourd'hui que Darwin n'a jamais été raciste. Ils disent que les racistes ont extrapolé d’après les idées de Darwin d’une façon biaisée afin de soutenir leurs propres vues. Ils affirment que le sous-titre "la conservation des races favorisées" de The Origin of Species, n’est applicable qu’aux animaux. Cependant, ceux qui avancent cette assertion semblent ignorer ce que Darwin dit dans son livre au sujet de la race humaine. 
Dans ce livre, Darwin avance que les races humaines représentent les différentes étapes de l’évolution et que certaines races ont évolué et progressé plus que d’autres. Certains humains seraient ainsi proches des singes.
Darwin prétendit que "le combat pour la survie" était applicable aux races humaines. "Les races favorisées" sortiraient victorieuses de cette lutte. Selon Darwin, cette

Les efforts du néo-darwinisme

Un groupe de scientifiques déterminé à réconcilier le darwinisme avec la génétique, d'une façon ou d'une autre, s'est réuni à une rencontre organisée par la Société Géologique d'Amérique en 1941. Après de longues discussions, ils se mirent d'accord pour proposer une nouvelle interprétation du darwinisme. Quelques années plus tard, des spécialistes mirent au point une synthèse de leur domaine dans une théorie de l'évolution révisée.
Les scientifiques qui participèrent à l'établissement de la nouvelle théorie comprenaient les généticiens G. Ledyard Stebbins et Theodosius Dobzhansky, les zoologistes Ernst Mayr et Julian Huxley, les paléontologues George Gaylord Simpson et Glenn L. Jepsen, et les généticiens mathématiques Sir Ronald A. Fisher et Sewall Wright.5

Le problème de la génétique

Un autre sujet qui posait problème à la théorie de Darwin était l'hérédité. A l'époque où Darwin développa sa théorie, la transmission des caractéristiques des êtres vivants aux générations suivantes, ou comment se transmettait l'hérédité, étaient encore incompris. C'est pourquoi la croyance naïve que l'hérédité était transmise par le sang était communément admise.


De vagues croyances sur l'hérédité poussèrent Darwin à fonder sa théorie sur des bases complètement erronées. Darwin supposait que la sélection naturelle était le "mécanisme de l'évolution". Mais une autre question restait sans réponse : comment ces "caractères utiles" étaient-ils sélectionnés et transmis d'une génération à l'autre ? A ce stade, Darwin adoptait la théorie lamarckienne de "l'hérédité des caractères acquis". Dans son livre The Great Evolution Mystery (Le grand mystère de l'évolution), Gordon R. Taylor, un chercheur, partisan de la théorie de l'évolution, suggère l'idée que Darwin fut fortement influencé par Lamarck : 

Le problème de l'origine de la vie

Dans son livre, Darwin n'a jamais mentionné l'origine de la vie. La compréhension obsolète de la science à son époque reposait sur l'hypothèse que les êtres vivants avaient des structures très simples. Depuis l'époque médiévale, la théorie de la génération spontanée, selon laquelle la matière inanimée pouvait s'assembler pour former des organismes vivants, était largement admise. On croyait que les insectes naissaient des restes de nourriture. On allait même jusqu'à penser que les souris naissaient à partir du blé. De curieuses expériences étaient menées pour prouver la validité de cette théorie. Du blé était placé sur un vêtement sale, et l'on pensait qu'une souris allait en sortir le moment venu.

Louis Pasteur a détruit l'idée que la vie peut naître à partir de substances inanimées.
De même, le fait que des vers apparaissent dans la viande était considéré comme la preuve de l'existence de la génération spontanée. Cependant, on ne réalisa que plus tard que les vers n'apparaissent pas dans la viande spontanément, mais qu'ils étaient transportés par des mouches sous forme de larves, invisibles à l'oil nu.

La naissance du darwinisme

L'idée que la vie est le produit d'un processus de coïncidences incontrôlé et sans but, est un mythe du 19ème siècle. Considérant ce sujet sous le prisme réducteur de la science de cette époque, les évolutionnistes prétendirent que la vie était très " simple "
ll existe plus d'un million d'espèces vivant sur terre. Comment ces créatures, avec des caractéristiques entièrement distinctes et une conception parfaite, ont-elles existé? Quiconque utilise sa raison comprendrait que la vie est le travail d'une création inimitable et suprême.
Cependant, la théorie de l'évolution renie cette vérité explicite. Elle soutient que toutes les espèces sur terre ont évolué les unes à partir des autres à travers un processus basé sur des événements hasardeux.
La première personne à adopter sérieusement la question de l'évolution - une idée qui prit ses racines dans l'Ancienne Grèce - était le biologiste français Jean-Baptiste Lamarck. La théorie de Lamarck, qu'il soutint au début du 19ème siècle, considérait que " les créatures vivantes ont transmis les traits qu'elles avaient acquis durant leur vie à des générations suivantes ". Du point de vue de Lamarck, les girafes, par exemple, ont évolué d'animaux, une sorte d'antilope, qui étirèrent leurs cous plus loin encore en essayant d'atteindre les branches les plus hautes pour se nourrir. Cependant, l'avènement de la génétique réfuta de manière définitive la théorie de Lamarck.
Le second à défendre cette théorie après Lamarck était un naturaliste amateur britannique, le célèbre Charles Darwin. Dans son livre L'origine des espèces, publié en 1856, il déclara que toutes les espèces descendaient, par le fait de coïncidences, d'un ancêtre commun. D'après Darwin, les baleines, par exemple, ont évolué des ours qui essayaient de chasser dans la mer.1